
Rondinone et Dumas en marge de la Biennale de Venise
Repoussée d’un an à cause de la Covid, la Biennale de Venise s’est donc ouverte fin avril et, comme pour chaque édition, elle regroupe un nombre impressionnant d’expositions et de manifestations en marge de ses deux principaux sites, l’Arsenale et les Giardini, où se trouvent les pavillons nationaux. L’édition de cette année, The Milk of Dreams, sous le commissariat de Cecilia Alemani, la première femme italienne à occuper ce poste, s’est révélée riche en découvertes. Elle met en avant beaucoup d’artistes (une majorité de femmes) que l’on ne connaissait pas ou peu, qui, pour certains, sont déjà morts, et qui appartiennent souvent à des cultures extra-européennes. On ne peut que se réjouir de cette prospection qui ouvre de nouveaux horizons, mais il ne faudrait pas non plus qu’on tombe dans le travers inverse et que ces propriétés deviennent la condition sine qua none pour être sélectionné dans une biennale. Dans cette profusion d’œuvres et de propositions, on a été particulièrement sensible à la magnifique installation vidéo d’Ali Cherri, qui a obtenu le Lion d’Argent, et qui reprend des éléments du film Le Barrage, qui a été présenté à Cannes (on y reviendra au moment de la sortie) et au pavillon […]
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