Voir et toucher
Ce sont deux expositions qui n’ont rien en commun, mais qui frappent par leur intelligence et leur pertinence. La première se tient à la galerie Imane Farès, qui s’est faite plus discrète depuis qu’elle a choisi de réduire considérablement le nombre d’expositions pour pouvoir les faire durer plus longtemps et de ne plus faire de foires. Elle a pour titre : There Is a Light That Never Goes Out, du nom d’une pièce conceptuelle de l’artiste sudafricain James Webb (rappelons que la galerie ne représente que des artistes africains ou du Moyen-Orient) et qui, sous la forme d’un néon qui peut être exposé avec sa traduction dans tous les alphabets non latins (arabe, coréen, mandarin, hébreu ou russe) incite le spectateur à voir ce qui n’était pas visible jusqu’à présent. En fait, le principe de l’exposition est de montrer le récit de la vie d’une œuvre d’art, depuis sa création jusqu’à son stockage. « Connectées entre elles par un réseau, compteur électrique créé pour ce projet, les pièces de l’exposition questionnent l’éphémère de leurs monstrations et leurs interactions avec les spectateurs-rice-s », nous est-il précisé. Ainsi, la première œuvre que l’on voit, puisqu’elle est dans la vitrine, est un autre néon de Basma […]
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Suzanne Tarasiève, l’intrépide
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